Assurance-vie : le couteau suisse du retraité

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Avec sa souplesse de fonctionnement et sa fiscalité favorable, cette enveloppe répond aux trois objectifs des seniors : valoriser un capital, y piocher ou encore le transmettre à son décès. Explications, chiffres à l’appui. Après les livrets d’épargne réglementés (livret A et consorts), l’assurance-vie est de très loin l’outil patrimonial le plus souscrit par les soixante ans et plus. Près de 50 % d’entre eux détiennent un ou plusieurs contrats selon les données de l’Insee. A comparer au taux de détention de 38 % chez les quadras et de 42,5 % chez les quinquas. Un plébiscite logique, répondent les professionnels.Accessible à toutes les bourses, ce placement répond à la plupart des projets patrimoniaux et continue de baigner, malgré quelques tentatives de déstabilisation, dans un cadre juridico-fiscal attractif. Il comprend aussi une solution financière, le fonds en euros, qui correspond à la recherche de sécurité dont les épargnants – (...)
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